Coup de projecteur – Dan Edwards

Nous souhaitons toujours en apprendre davantage sur les personnes qui travaillent dans les banques alimentaires du Canada! Ce mois-ci, nous braquons les projecteurs sur Dan Edwards du Wood Buffalo Food Bank Association.

Quel est votre rôle dans le réseau des banques alimentaires?
Je suis le directeur général de la Wood Buffalo Food Bank.

Décrivez votre journée de travail typique en un mot.
Je dirais « évolutive ».

Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler dans les banques alimentaires?
Honnêtement, je voulais du changement après avoir travaillé dans des foyers de groupe et avec des enfants. De plus, la perspective de travailler à nouveau avec Arianna Scott dans un nouveau secteur du domaine était fort intéressante. J’ai toujours aimé aider les gens, et cela m’a semblé être une excellente occasion de me perfectionner tout en pouvant le faire.

Quelle est votre plus grande réalisation dans votre poste actuel?
Dans le cadre de mes fonctions, ma plus grande réussite est l’achat d’un nouveau bâtiment et le fait d’avoir une équipe extraordinaire pour m’appuyer tout au long du processus, car c’est seulement grâce à son soutien que je suis capable d’accomplir quoi que ce soit.

Quel est le plus grand défi que vous devez surmonter dans votre poste actuel?
Sans mentionner la pandémie de COVID-19, les catastrophes naturelles ou le ralentissement économique, je dirais probablement la solitude et le stress mental.

Si vous pouviez faire un seul vœu pour régler le problème de la faim au Canada, quel serait-il?
L’accès égal et sans entrave aux produits essentiels nécessaires pour lutter contre l’insécurité alimentaire pour tous.
  
Quel talent aimeriez-vous le plus avoir?
Faire de la spéléologie d’exploration. Il n’y a pas de raison particulière, j’aimerais bien savoir comment ça se déroule.

Si vous pouviez remonter le temps et vous donner un conseil à vous-même, quel serait-il?
Insérez les paroles de Baz Luhrmann « Tout le monde est libre de porter de la crème solaire ». J’ai entendu la chanson quand j’étais plus jeune, et les paroles résonnent toujours en moi à ce jour. C’est ce que j’écoute quand j’ai besoin d’une petite tape dans le dos.

Qui sont vos héros? (fictifs ou réels)
Dennine Giles, propriétaire du concessionnaire Ford local, qui faisait partie de notre conseil d’administration. Elle est l’une des personnes les plus gentilles, astucieuses en affaires et généreuses que j’ai le plaisir de connaître. Lorsque je me pose des questions, j’essaie de penser à ce qu’elle ferait dans la même situation.

Quelle est votre conception du bonheur?
Le bonheur ne se résume pas à rire ou à sourire. Le bonheur, c’est d’être content de l’endroit où l’on se trouve et de ce qui nous entoure, et d’avoir des appuis autour de soi lorsque le contentement n’est pas possible.

Quelle est votre devise?
Avant, c’était « dire oui et trouver une solution plus tard », mais maintenant c’est plutôt « dire peut-être et trouver comment moi ou quelqu’un d’autre de mieux qualifié peut rendre cela possible ».

Apprenez-nous un fait inusité à votre sujet.
C’est difficile à dire, je suis excentrique et je l’assume. Quand les gens me disent « tu m’étonnes » et que je réponds « vraiment? », ils disent généralement « non ».
J’ai 42 éléphants en peluche qui s’appellent tous George, mais le premier George est Québécois.
  
Quelle chanson vous représente le mieux?
La chanson « I’ve Had the Time of My life » de Bill Medly et Jennifer Warnes, qui fait partie de la bande sonore originale du film Dirty Dancing (pas l’outrageante nouvelle version).

Vous connaissez une banque alimentaire ou un acteur du milieu que nous pourrions mettre en vedette dans le prochain Coup de projecteur? Écrivez-nous à communications@foodbankscanada.ca.